Après 16 tentatives infructueuses, une femme de 48 ans devient mère pour la première fois

Après 16 tentatives infructueuses, une femme de 48 ans devient mère pour la première fois

L’Anglaise Louise Warnford avait toujours rêvé de connaître les joies de la maternité, elle était si excitée de voir des mamans se promener avec leurs bébés. Mais son corps semblait résister à cet état miraculeux.

Lorsque les médecins ont informé qu’elle ne pourrait pas tomber enceinte naturellement, elle a opté pour la FIV, mais même dans ce cas, les difficultés ont été nombreuses, l’embryon n’a pas pris racine. Pendant ce temps, Louise a eu 17 tentatives au total.

Les médecins ont commencé à persuader la femme de lâcher et d’adopter un enfant, en lui expliquant qu’il s’agissait d’une caractéristique spéciale de son corps et qu’ils étaient impuissants de changer ça.

Mais Louise n’a pas lâché. Elle a demandé aux médecins de faire tout simplement ce qu’ils étaient censés faire. Elle a dépensé environ 90 000 euros et elle a réussi à vaincre la nature et à tomber enceinte à l’âge de 47 ans. Sous surveillance médicale constante et redoutant chaque nouveau jour, qui pourrait lui apporter une nouvelle déception, le fœtus continuait à se développer.

«J’ai subi une césarienne à 37 semaines, raconte Louise, car l’examen suivant a révélé des problèmes dans mon corps. Ni les médecins ni moi ne pouvions prendre le moindre risque et c’est ainsi que mon petit William est né. Je suis sûre qu’il sera un grand homme parce que j’ai souffert pour sa naissance et cela vaut quelque chose.

La femme est très reconnaissante à son médecin, Hassan Shehat, qui l’a soutenue et accompagnée tout au long du processus.

«Je veux dire à toutes les femmes qui sont désespérées et qui ont décidé d’abandonner l’idée de devenir mère. Ayez confiance en vos capacités et vous réussirez», dit Louise. «Grâce à ma persévérance, ma famille est maintenant en bonne santé et chaque fois que je regarde dans les yeux de mon fils, je suis tellement contente d’avoir insisté. Croyez-moi, ça en vaut la peine !»

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