Ils pensaient que leurs voisins avaient déménagé il y a 3 ans. Ce que la police a trouvé dans cette maison après 3 ans est inconcevable!

Ils pensaient que leurs voisins avaient déménagé il y a 3 ans. Ce que la police a trouvé dans cette maison après 3 ans est inconcevable!

Au Tennessee deux frères jumeaux âgés ont disparu dans leur propre maison et personne ne les a vus depuis trois ans. Au bout de trois ans, les autorités ont découvert quelque chose qui a mis les voisins dans la confusion.

Antony et Andrew Johnson, qui avaient 63 ans, habitaient dans cette maison depuis plus de quatre décennies, mais leurs voisins ne les voyaient pas souvent. Finalement, ce sont les proches qui ont demandé à la police de les contacter. La police a constaté que les frères étaient décédés.

Le 29 mars, à la suite de l’appel des proches, la police est arrivée au domicile des Johnson à Chattanooga, en Tennessee pour vérifier si tout était en ordre. En rentrant dans la maison, les agents de police ont trouvé les dépouilles pourries des deux frères assis dans leurs fauteuils dans le salon. Les policiers ont examiné la maison, mais n’ont trouvé aucun signe d’empoisonnement. Une autopsie a révélé qu’ils n’avaient aucun organe blessé.

Bien que la cause du décès ne fût jamais établie, les autorités confirment qu’ils sont décédés en 2011.

L’histoire des frères est particulièrement mystérieuse, car ils étaient décrits comme deux hommes «menant une vie d’ermite», c’étaient des gens peu communs.

Selon les voisins, ils portaient des masques chirurgicaux même quand ils sortaient dans le jardin et avaient toujours les rideaux tirés.

Après le décès des frères, les voisins ont aidé à entretenir régulièrement la pelouse.

Dans une interview accordée aux médias, la voisine Linda Maffette a déclaré: «Je ne savais même pas leurs prénoms».

Ensuite elle a raconté comment une fois elle avait aidé un des frères à se lever quand celui-ci était tombé devant le seuil de la maison. C’est ainsi qu’elle a appris qu’il était sourd.

Linda a ajouté: «Je me demandais toujours comment il allait après cette chute, mais je n’ai jamais osé frapper à leur porte plus tard, même quand j’avais un mauvais pressentiment».

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